8 déc. 2018

HAPPY TIMER N°4 : Jamais un échec, toujours une leçon.


Hello tout le monde ! J'ai décidé aujourd'hui que je ne partagerai plus les HAPPY TIMER seulement sur les réseaux mais aussi sur mon blog. Je suis souvent très inspirée par les thèmes que proposent Jordan (@jordy_reads_books) et Laura (@ultimeparole) et souvent je me stoppe pour éviter que mes textes soient trop longs sur les réseaux du coup j'en suis venue à la conclusion que c'était ridicule et que je devrais partager le fond de ma pensée donc de ce fait détailler mes propos. Du coup cette semaine j'ai décidé de rattraper l'un des thèmes que je n'avais pas abordé qui était "Jamais un échec, toujours une leçon".


L’une des féministes et activistes des temps modernes que j’admire le plus, Emma Watson a dit : 
« Je refuse que la peur de l’échec m’empêche de faire ce qui m’importe. »
Quand je faisais mes recherches pour savoir comment j’allais commencer ce sujet, je suis tombée sur cet article du webzine Scoachy qui partageait leur sélection de 10 citations pour 10 femmes inspirantes et j’ai fini nez à nez avec cette citation d’Emma Watson. Je me suis tout de suite sentie inspirée pour commencer mon sujet.


Nous connaissons tous, ce sentiment si familier qui jette son dévolu sur nos esprits, nous tourmente, nous fait broyer du noir pour enfin donner un grand coup sur la tête de notre chère « confiance en soi ». Et oui vous l’aurez peut-être deviné, je parlais bien de ce cher sentiment « l’échec ». Nous l’avons tous bien trop de fois ressenti, bien trop de fois connu et bien trop de fois dû se relever à cause de lui.
Personnellement, j’ai une relation très compliquée avec Mr. « l’échec », c’est qu’il m’en a fait voir de toutes les couleurs. Étant une personne très perfectionniste, acharnée et très sévère avec soi-même, j’ai toujours eu du mal à accepter mes échecs, pensant qu’il n’y avait qu’une seule façon de faire et que si j’avais échoué, il fallait seulement que je laisse tomber.

« Il n’y a qu’une seule chose qui rend un rêve impossible à réaliser : la peur de l’échec. »

Paul Coelho.

Mais depuis quelques années, après plusieurs échecs en poche et ma confiance en moi légèrement à la hausse, j’ai compris que si j’échouais, je pouvais aussi en apprendre quelque chose, que derrière il y avait une leçon que je devais retenir. Cela voulait aussi dire que ce n’était pas voué à aboutir tout de suite. Car oui, je suis aussi une croyante en ce que l’on appelle communément, le destin. C’est-à-dire que si je ne réussissais pas une chose maintenant, c’était soit, car je devais en apprendre sur cette dernière soit, ce n’était pas destiné à se faire. 
Je travaille encore tout les jours pour accepter mes échecs, qu’ils soient petits ou grands, ils sont quand même difficiles à encaisser surtout quand on est encore jeunes et qu’on essaye difficilement de se construire. Néanmoins, ce n’est pas pour autant que ma peur, mais aussi mon désamour de l’échec, me fera reculer, au contraire cela me motivera toujours pour avancer vers de nouvelles épreuves. 


Il faut se l’avouer, nous avons peur de décevoir, d’être jugée, de ne jamais y arriver, de se sentir rabaissé(e), tout ces sentiments qui tendent à mettre à mal notre confiance et donc nous fait reculer face à de nouveaux projets. Mais soyez indulgents envers vous-même, c’est le conseil que je vous donnerai, car au final si l’échec fait mal, qu’il est difficile à accepter, vous ne pourrez pas le faire disparaître alors autant, essayer de cohabiter avec ce cher Mr. « l’échec » et trouver une leçon. L’échec n’est pas forcément notre ennemi, je m’en rends compte à chaque fois que j’y fais face, car au final, il m’a toujours donné une leçon qui m’a fait mûrir et grandir donc sans lui, je n’en serai pas là où j’en suis. Sans lui, je ne serai pas là où je serai demain. Donc je lui dis merci.

« L’échec est la mère du succès. »

Proverbe chinois.

L’évolution est faite d’échecs, c’est inévitable, mais c’est ce que vous faites de ces échecs qui forgeront votre perception du monde, de la vie et du parcours qui vous attend. Ne vous sous-estimez pas, donnez le meilleur de vous-même et si vous échouez, pleurez un bon coup (car cela fait toujours du bien), relevez-vous et apprenez. Face à quelques échecs, il y a une centaine de réussites qui vous attendent alors célébrez.

Andréa.

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